VIDÉOS

Faîtes-nous parvenir vos images d’agression, nous les ajouterons à cette longue liste…

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LYON :

La manifestation du 1er mai a aussi dégénéré à Lyon. Alors que les manifestants étaient devant les forces de l’ordre, ces derniers les ont chargés, gazés et matraqués.

Sources :

NANTES :

Plusieurs milliers de personnes ont manifesté jeudi 1er mai, dans les rues de Nantes, où des tensions, entre forces de l’ordre et les manifestants, ont éclaté. Les forces de l’ordre ont chargés, gazés et matraqués les manifestants. Plusieurs personnes du cortège de tête de la manifestation ont été interpellées. En fin de manifestation les forces de l’ordre ont fait usage du canon à eau, pour disperser les manifestants restant.

Sources :

PARIS :

Plus de 300 000 personnes ont manifesté dans toute la France, pour la journée des travailleurs. Les syndicats ont appelé à la mobilisation ce 1er Mai, jour de la Fête du travail. 270 rassemblements étaient prévus dans toute la France, notamment à Paris. Des milliers de personnes ont manifesté à Paris, où de nombreux affrontements ont eu lieu. En fin de manifestation les forces de l’ordre ont enchaînés les charges et les coups de matraques sur les manifestants. Au moins 50 personnes ont été interpellés. Un policier a mis un coup de pied et un coup de poing à un journaliste, portant clairement le sigle « PRESSE ». Elle a été frappée à coups de poing, de pied et de matraque.. Un autre policier a donné un coup de matraque à un journaliste. Les CRS ont menacés de tirer à bout portant avec un lance Grenade.L a police a interpellé une manifestante en vélo arborant un drapeau de la Palestine.

Sources :

C’est une affaire qui est devenue l’un des symboles des violences policières… Cette semaine dans La grande histoire, Hugo Baiardi raconte les dessous de l’affaire Théo, victime d’un coup de matraque qui l’a laissé handicapé à vie.

Sebastian Roché est directeur de recherche au CNRS. Il a publié « La police contre la rue » avec François Rabaté

Voir la page de Théo Luhaka

[Source : Brut sur YouTube]

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Le samedi 11 mars 2023, à la suite d’une nouvelle manifestation contre la réforme des retraites, les forces de l’ordre étaient intervenues pour repousser les manifestants mobilisés à proximité de l’ancien cinéma Arvor, rue d’Antrain, à Rennes.

Pendant plusieurs minutes, le téléphone portable d’un délégué du syndicat SUD Éducation filme l’actuel « chef » de la « colonne Bravo » en train de mettre des coups de matraque aux deux syndicalistes.

Source : Actu Rennes

Interview de deux jeunes femmes agressées par la #police, un témoignage édifiant, à voir et partager. Merci de soutenir l’ACI (Action Contre l’Islamophobie) qui accompagne les 2 jeunes victimes pour réclamer #justice.

[Source : Action Contre l’Islamophobie]

On pourrait remplir ces pages avec toutes les scènes de brutalité flicardes contre les migrants, leurs soutiens et d’autres citoyens (à l’exception des fachos et de certains habitants excédés qui passent à l’acte). En voici juste une de plus, titrée « Coups de matraque et repousse violente de la part des CRS« .

Les tonfas ont commencé à chauffer vers 19:30, puis vers 20:15 ont débarqué 22 camions de CRS rue d’Ajaccio, comme le montre cette vidéo.

[Sources : Calais Logement pour Toustes sur Twitter]

En France, ces dernières années, la répression des manifestations est d’une ampleur inédite. Amnesty International l’a documenté, de nombreux manifestants pacifiques se retrouvent dans le viseur des autorités. AI l’avait analysé en septembre 2020 avec son enquête « Arrêtés pour avoir manifesté », lançant l’alerte sur la stratégie dite de « judiciarisation du maintien de l’ordre ».

Un an après, Présumé coupable réinterroge le sujet en donnant la parole aux victimes. Les témoignages sont ponctués par l’analyse d’experts et d’avocats. Un documentaire qui replace au cœur de la réflexion et des débats la protection de ce droit fondamental qu’est notre droit de manifester.

Pour Arnaud Constant et Nicolas Thomas, les réalisateurs du documentaire, il était important de consacrer 52 minutes au droit de manifester. Présumé coupable traite d’une réalité beaucoup moins connue et visible que les violences policières : celle de la garde-à-vue et des comparutions immédiates subies par des manifestants pourtant pacifiques.

Frédéric Vuillaume, syndicaliste de Besançon, Odile Maurin, militante toulousaine, Brice Ivanovic, journaliste français basé à Paris et Lara, mère d’un manifestant mineur : tous ont subi des arrestations arbitraires, le stress des gardes à vue et pour certains, des poursuites judiciaires. Ils racontent…

[Sources : Amnesty International, Amnesty International, Amnesty International, Le film sur YouTube]


Ces images ont été tournées dans la cité du Pavé neuf à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) avant d’être publiées sur les réseaux sociaux. On peut y voir un homme au sol, sur le trottoir, maîtrisé par deux policiers en civil. Un troisième agent, en tenue et vêtu d’un gilet pare-balles, arrive en courant, pose son genou sur la tête d’Aboubacar X. quelques secondes puis disparaît. Il revient et porte un premier coup avec son poing droit à la tête du jeune homme toujours au sol puis un violent coup du pied gauche dans la tête.

Les faits se sont déroulés vers 20:30 alors que les policiers intervenaient pour un « attroupement avec tapage, dans la rue », a expliqué le parquet de Bobigny. Pendant leur intervention, les policiers ont reconnu cet homme, déjà connu pour outrage, et ont décidé de le mettre à l’écart. Mais celui-ci s’est énervé et a frappé les agents, selon une source proche de l’enquête. Deux fonctionnaires ont eu cinq et six jours d’ITT (incapacité totale de travail), a précisé le parquet.

La vidéo, d’abord publiée sur le site de la Préfecture par un témoin, a par la suite été retirée…

[Source : Le Parisien sur YouTube]


Vendredi midi, rue Pierre Mauroy. Récit de témoins : une maman accompagne sa jeune fille à vélo. La petite d’environ 5 ans percute un policier municipal à pied sur le trottoir. Le policier la pousse. La mère lui jette une bouteille d’eau. Elle est jetée contre une vitrine, plaquée au sol, puis on a essaye de la menotter. Le tout devant son enfant en pleurs et hurlant de toutes ses forces….

[Lire l’article complet]

[Source : Kaazy @ Twitter]

Une banale intervention de police, menée rue du commandant Mages, à Saint-Charles (1er), a singulièrement dérapé dans la nuit de jeudi à vendredi, à 2 heures du matin. Les policiers de la Division centre sont appelés pour une soirée sauvage dans un appartement avec des jeunes fortement alcoolisés.

Certains tentent de fuir par un échafaudage. L’un d’eux est interpellé. La police l’accuse d’outrage, rébellion et violences sur la police. Eliot, un musicien âgé de 23 ans, lui, se défend de telles accusations. Sur cette vidéo, tournée par des riverains, on voit notamment que l’individu est tabassé par des policiers. Il est ensuite amené par les cheveux jusqu’à la voiture de police de la Bac centre et d’y être une nouvelle fois tabassé dans l’habitacle. Il aura le visage tuméfié.

Sa compagne, âgée de 32 ans, à quelques mètres de là, tente d’intervenir. Elle est repoussée, projetée au sol, puis gazée à gratuitement. Le couple sera finalement emmené au commissariat de Noailles et y restera pendant 40 heures. Il en ressortira samedi soir avec un simple rappel à la loi. Le policier qui aurait commis les violences estime avoir fait usage de la force nécessaire. L’avocat de la jeune fille violentée indique avoir saisi l’IGPN. Il se dit disposé à aller jusqu’au bout.

[Sources : SudInfo, La Provence sur YouTube]

Rayan a été tabassé par 2 flics de la police nationale alors qu’il était tranquillement assis et se roulait un joint. Il raconte sa mésaventure à LoopSider.

La flicaille nationale a décidé de publier une vidéo de « décryptage » de l’affaire sur Twitter commentée par Michel Lavaud, son porte-parole qui essaie de justifier la violence de cette interpellation par des tentatives de Rayan de s’emparer de la bombe lacrymogène de l’un des agents alors même que la vidéo montre bien le non-sens de cette accusation….

[Sources : Révolution Permanente, LoopSider sur Tweeter]


Ça s’est passé samedi 21 novembre à Paris. 15 minutes de coups et d’insultes racistes. La folle scène de violences policières que nous révélons est tout simplement inouïe et édifiante. Il faut la regarder jusqu’au bout pour mesurer toute l’ampleur du problème.

Voir la page de Michel Zecler

[Source : Loopsider Tweet]

« Tous les pays du monde sont confrontés aux violences policières. Pour les démocraties, c’est un enjeu devenu crucial à leur propre survie. Le film questionne cette définition de Max Weber : « l’État revendique le monopole de la violence physique légitime » Qu’est-ce que l’État ? La violence légitime ? Qui lui dispute son monopole ? et qui en tient le récit ? » (Daniel Dufresne, réalisateur du film)

Alors que s’accroissent la colère et le mécontentement devant les injustices sociales, de nombreuses manifestations citoyennes sont l’objet d’une répression de plus en plus brutale. Le film invite des citoyens à approfondir, interroger et confronter leurs points de vue sur l’ordre social et la légitimité de l’usage de la violence par l’État.

[Télécharger le dossier de presse]

 [Sources : O’Brother sur YouTube]

Un passager d’origine britannique de l’Intercités Paris-Toulouse aurait refusé de porter son masque et « présenté une attitude menaçante et est muni d’un couteau‘ », a précisé la SNCF à la police, appelée à intervenir. l’homme, violemment plaqué au sol et interpellé par deux policiers. Sur la vidéo, on voit l’un des policiers écraser à coups de pied la tête de la personne interpellée puis lui maintenir la tête sous sa chaussure, suscitant l’indignation de certains citoyens Français qui crient, sur les réseaux sociaux, à l’usage de force disproportionné.

L’homme, blessé, se serait occasionné ses blessures avec son couteau, selon la République du Centre. Les premiers soins lui ont été prodigués sur place par les deux agents de police, qui ont appelé des renforts et les pompiers. Transporté au centre hospitalier d’Orléans où il est encore en observation ce mercredi, il a été placé en garde à vue mais n’a pas encore été entendu par les forces de l’ordre.

[Source : La Libre Belgique]


Début juin, 20 000 personnes manifestaient à Londres contre les violences policières, autant à Paris et 5 000 à Amsterdam. La mort de George Floyd aux États-Unis semble avoir ravivé le souvenir des violentes répressions de mouvements sociaux en Europe. En France, en 2019, les tirs de lanceurs de balles de défense ont enregistré une hausse de 200 % et les interventions violentes ont augmenté de 80 % en 2018 à Londres.

Vox pop a enquêté en Allemagne, où les violences policières sont largement sous-estimées. Mais pour les gouvernants, le reconnaître, c’est aussi risquer de jeter des policiers aigris dans les rangs des nationalistes de l’AfD. Que choisir entre alimenter l’extrême droite ou maintenir l’éteignoir sur la réalité et se couper de la population ? Nora Hamadi ouvre le débat avec le criminologue néerlandais Dorian Schaap et l’ancien officier de police judiciaire française Christophe Korell, mais également avec la correspondante de Vox pop en Suède, Julia Skott.

[Source : Nicolas Thepot et Nora Hamadi Vox Pop sur Arte]


[Sources : Sud Info, Huffpost]

C’est le tout premier journaliste à infiltrer la police. De sa « formation low cost » jusqu’à une « bavure« , Valentin Gendrot raconte à Konbini son enquête inédite pour comprendre les violences policières et le mal-être des agents.

[Source : Konbini sur YouTube]


À l’heure de Black Lives Matter et du débat national sur les violences racistes et policières, bon nombre d’Américains s’interrogent sur la formation des policiers. Sont-ils trop vigilants, leur enseigne-t-on à avoir des réactions démesurées ? ARTE Journal a suivi des élèves policiers dans le Wyoming.

[Source : N. Spohn Almeida pour Arte Journal]

Amadou Koumé, mort au commissariat du Xème. 16 policiers sont mobilisés pour interpeller le trentenaire. Seul l’un d’eux est inquiété à ce jour. « J’ai positionné mon avant-bras droit au niveau de son cou. J’ai fait la technique d’étranglement que j’ai apprise en école de police« , a indiqué à l’IGPN le policier mis en examen, avant de reconnaître avoir procédé à ce geste « une deuxième fois » car l’homme « continuait à s’agiter« .

[Source : Le Point]

Manifestations dans plusieurs villes en France contre les violences policières, à l’appel du d’Assa Traoré, fondatrice du Comité Adama pour commémorer la mort d’Adama Traoré lors de son interpellation en 2017.

[Source : Arte Journal]

Leila N. a été brutalisée par un Florian G. policier de la BAC du XVIIème, alors qu’elle venait d’appeler les flics après avoir été témoin d’une agression.

Sur procès-verbal, Florian G. la décrit comme une jeune femme « excitée » en train de « vociférer » à laquelle il intimerait l’ordre de reculer. « Je vois qu’elle refuse de s’exécuter, j’essaie alors de l’accompagner avec le bras au niveau du trottoir d’en face […] Je décide alors de saisir son manteau avec ma main gauche au niveau de son épaule droite et je la repousse calmement vers le trottoir, sans force« . Selon lui, elle lui aurait retourné le pouce « très sèchement et très violemment« , à tel point qu’il « a dû porter un coup« , ce que confirme son collègue Fabrice I. Le flic dépose plainte pour violences volontaires.

Leila passe la nuit en garde à vue. Mais une vidéo de la scène filmée par un riverain, sept témoignages directs, les certificats médicaux, tous versés au dossier contredisent la version des deux policiers.

Dans cette vidéo publiée sur Marianne, l’on voit Florian G., barbe touffue et casquette sur la tête, agripper la gorge de Leila, l’étrangler, la repousser jusqu’au trottoir avant de la plaquer contre un mur. Elle crie et lui saisit la main. Au milieu de la séquence, le policier lui assène un coup de pied dans le tibia. Les cris de Leila sont distinctement audibles dans la vidéo : « Lâchez-moi, ça va pas ou quoi ?« , hurle-t-elle….

[Source : YouTube]

« Il y a une femme qui m’a tenu les pieds, pendant qu’un policier me tapait avec la pointe de ses pieds », « Je leur ai dit ‘s’il vous plaît, je me rends’, c’est là que les policiers m’ont tapé» : Gabriel D., 14 ans et 50 kilos, a eu 30 jours d’ITT après 10 jours d’hospitalisation, suite à son interpellation à Bondy le 25 mai. L’IGPN est saisie. Il témoigne pour la première fois. Une version que ne confirment pas les quatre agents qui expliquent que l’un d’entre eux a « a plaqué Gabriel pour le menotter ». Les deux seraient alors tombés au sol violemment. Un autre fonctionnaire est alors arrivé en courant par derrière, et a trébuché sur les deux corps. C’est à ce moment que son pied ou sa jambe a pu heurter le visage de Gabriel, explique une source policière à franceinfo. « Je n’arrive pas à croire qu’ils mentent comme ça », lâche Gabriel.

[Source : vidéo réalisée par David Perrotin pour Loopsider]


Dans une vidéo diffusée dimanche sur Twitter, on entend des policiers prononcer des commentaires racistes envers une personne interpellée, au cours d’une intervention à l’Île-Saint-Denis. « Le préfet de police va saisir l’IGPN« , confirme la PP.

[Source : France 2 Régions]


« Attention, images très dures. Nous venons de recevoir ces vidéos prises hier soir à Toulouse vers 3h du matin. Un homme à terre a été défoncé à coup de muselière. Le policier qui frappe aurait auparavant demandé à son chien d’attaquer, en lui enlevant la muselière. Le chien ne voulant pas attaquer, le policier l’a insulté puis s’est mis a frappé la personne au sol. On voit en fin de vidéo, prise le lendemain matin, les traces de sang au sol et sur les murs. »

[Source : Cerveaux Disponibles sur YouTube]

De jeunes saisonniers se sont rassemblés à proximité de la ville de Millau, en Aveyron (12), dès l’annonce du confinement, afin de le vivre en groupe dans leurs habitations mobiles respectives : des vans équipés. Au bout de 10 jours de confinement sur un terrain où ils sont “habituellement tolérés en camion” et apparemment sans avoir enfreint les règles, les saisonniers itinérants se font éjecter par la gendarmerie de manière musclée, agressivité, paternalisme et insultes comprises.

L’irascible chef pandore qui vient de se faire gronder par le Préfet, n’hésite pas, sur le ton du mâle alpha, à mentir effrontément : il affirme sans broncher (et contre les principes de notre droit, nonobstant l’art. 24 de la proposition de loi Sécurité globale) que les jeunes n’ont pas le droit de filmer la scène, dans laquelle il se ridiculise lui par là-même l’institution qu’il représente. Menteur ou ignorant ?

[Source : YouTube, Autonews]

« J’ai cru qu’ils allaient me tuer » : Boubacar, médiateur de Gennevilliers, revient pour la première fois sur le contrôle de police qu’il a subi et qui a viré en violente et humiliante agression.

« Un policier, un jour m’a dit : « qu’est-ce que tu fais-là, tu es venu chercher des bananes ? » Le racisme et la peur de la police, ça existe ». Un témoignage posé et lucide, des images qui parlent d’elle-même,

[Source : Loumassine Ali pour Konbini TV]

Le youtubeur FAFA se baladait à motocross dans les rues du 13e arrondissement de Marseille quand une voiture de police qui arrivait derrière lui a demandé de se ranger. Le motard n’a pas voulu obtempérer et a pris la fuite. S’en est suivi une course-poursuite avec la police. Après quelques minutes, le motard a glissé dans un virage, il s’est relevé pour remonter sur sa moto, mais la voiture de police l’a percuté volontairement pour l’empêcher de partir. Il a été ensuite mis à terre et arrêté par les policiers.

[Sources : Koreus.com]

Gaspar Glanz filme en direct son interpellation lors de la manif : après avoir été visé par une grenade lacrymo et cherché le commissaire responsable, il adresse un doigt d’honneur au tireur et se retrouve à terre « maîtrisé« , en langage flicard…

[Source : Taranis News sur YouTube]

Ce jour-là, le brigadier-chef Laurent M., le brigadier G. et le gardien de la paix L., trois CRS des compagnies 40 et 61 sont de la fête : évacuation de migrants sous un pont de bretelle routière près de la rocade à Calais.

Thomas Ciotkowski, un bénévole britannique trentenaire de Help Refugees, circule en camionnette avec l’un de ses amis. Apercevant trois personnes en train de se faire contrôler par quelques policiers, à proximité de migrants, il s’arrête pour filmer la scène. Les fonctionnaires décident alors « d’évincer » l’ensemble du groupe….

Thomas est interpellé, renvoyé pour outrage et violences sur policier et relaxé en 2019 sur la base de ces vidéos prises par des bénévoles qui contredisent les dires des fonctionnaires des forces de l’ordre : on l’y voit bousculé par le CRS et tomber seul par-dessus la glissière au moment où passe un camion…

[Source : Le Monde]

Pour les associations, il est devenu difficile de travailler auprès des migrants, toujours plus nombreux dans l’été calaisien. Les distributions de nourriture sur la voie publique sont interrompues par la police, comme vous pouvez le voir sur ces images prises par Utopia 56, et contrairement à la décision du Tribunal de Lille, qui autorise ces distributions alimentaires. A Calais, les associations s’insurgent. Des policiers auraient empoisonné sciemment des bidons d’eau destinés aux migrants. Le gouvernement ignore l’urgence, et aucun « plan migrants » n’est réellement proposé.

[Source : Jungle News]

Le Civil Liberties Union for Europe publie une vidéo sur YouTube sur le droit de filmer la police, intitulée « Can we record the police while they work? »

[Source : Civil Liberties Union for Europe sur YouTube]

Voir la page de Théo Luhaka

[Source :YeloTV sur YouTube]

[Source : Europe 1 sur YouTube]